Dangereuses? Plutôt poétiques
Abstract
Je crois sincèrement que, dans ce monde globalisé, le grand danger qui quette le traducteur c'est la solitude. La solitude, cela veut dire que la formation continue du traducteur (qui doit durer toute sa vie) dépend exclusivement de lui-même, mais également que sa stabilité émotionnelle risque d'être mise en danger. Traduire de la littérature, et surtout de la grande littérature, lui permet de dialoguer avec les esprits les plus éclairés de l'humanité et de vivre dans des mondes qui n'ont rien à voir avec le monde réel mais qui lui offrent une évasion bienvenue.
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