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, U???q et ?ab?, emprunte à ce pentacorde l'un de ses degrés pour en faire son qar?r ou finale, c'est-à-dire sa note conclusive. La définition de l'échelle octacordale de chaque mode se fait par complétion de ce pentacorde do 2 -sol 2 ou fa 2 do 3 par un tétracorde supérieur ou inférieur (sol 2 -do 3 , pour le pentacorde do 2 -sol 2 , ou do 3 -fa 3 , pour le pentacorde fa 2 -do 3 ), ce tétracorde pouvant être : (1) de genre zalzalien (n et M), pour R?st et S?k?h ; (2) de genre diatonique, dans sa nuance régionale 78 , caractérisée par le resserrement de sa seconde mineure -devenant minime 79 (codée mm)-et l'élargissement de la seconde majeure qui la surplombe -devenant maxime 80 (codée MM)-, pour Bayy?t? 81 , Jah?rk?h et 'U???q (également 76 Une seconde moyenne est intermédiaire entre une seconde mineure et une seconde majeure et équivaut à un trois-quarts de ton, dont la valeur logarithmique tourne autour de 150 cents (plus-ou-moins un comma). 77 Une seconde majeure équivaut au ton, dont la valeur logarithmique tourne autour de 200 cents (plusou-moins un comma). 78 L'analyse de cette structure à partir de documents sonores des débuts de l'ère discographique arabe (Abou Mrad, 2005a) la rapproche des nuances toniée (dite d'Archytas) et amollie du genre diatonique, qui s'expriment, respectivement, par les séries (non ordonnées) de rapports superparticulaires, Chacun des huit macromodes ou modes globaux de base de cette tradition, à savoir R?st, pp.9-17, 1926.